♔ — PHYSIQUE & CARACTERE
Je suis... belle. Que dire d'autre ? Je ne me vante pas, non. Mais si je suis aussi populaire et demandée, il n'y a pas à trouvé d'autre explication que ma beauté, mon charme, mon charisme. Je suis grande et mince, on peut dire que j'ai un corps de mannequin je ne dirait pas le contraire. Plus précisément, maintenant : Mon visage est assez fin, seul mon front est tout juste large. Mes cheveux sont blonds. J'ai des yeux bleus, gris. J'ai un petit nez en trompette, mes oreilles sont percées et mes lèvres sont fines.
Le mot qui me colle à la peau, qui me va le mieux, ce serait : fêtarde. Je le suis. Et les fêtes passent bien avant les cours pour moi. Je ne suis pas une intellectuelle non plus, même si je me défends à peu près en cours... mais on ne peut pas dire que je fasse tout pour avoir de bons résultats. Je suis très demandées par les garçons, aussi. Ce n'est pas un problème, ça me permet d'avoir à tout moment un copain. Même si mon image, au final, n'est pas super, je profite de ma vie et je la croque à pleine dents. Je suis aussi quelqu'un de franche, qui ne se laisse pas du tout marcher sur les pieds. Quelques fois il m'arrive d'être quelques peu manipulatrice, juste pour obtenir ce que je souhaite. Ce qui compte le plus au fond, c'est qu'au final j'obtienne le résultat voulu. Tout ça sans jamais être trop méchante ! Mais derrière tout ça je peut être gentille avec ceux que j'aime, ceux en qui j'ai confiance.. tout dépend avec qui je suis !
♔ — 3615 RACONTE NOUS TA LIFE Chapter One...
il y a un début à tout
Mes parents se sont connus il y a très longtemps, lorsqu'ils étaient au collège. Mon père n'était pas encore cet si homme riche et dignitaire, patron d'une grosse entreprise. Ils étaient tombés, l'un de l'autre, éperdument amoureux. Les sentiments qu'ils entretenaient l'un pour l'autre étaient sincères. Mais à cette époque, ils n'étaient que deux amoureux comme tant d'autres. Ils se séparèrent durant quelques années, pour mieux se retrouver plus tard. Leur amour était si sincère qu'ils se marièrent, et ma mère tombait enceinte de moi. Mais durant neuf mois, tout changea. Mon père signait un gros contrat et devint alors le patron d'une entreprise connue et reconnue de tous, et devint riche comme crésus.
Je naquit dans un hôpital aussi riche que ma famille l'était désormais. Au départ, tout était idéal. Je ne me rendait pas compte, étant enfant, que je vivait dans une maison manquant d'amour. Mon père ne s'occupait pas de moi, trop occupé à travailler, tandis que ma mère dû arrêter de travailler pour pouvoir s'occuper de moi, avoir du temps pour sa famille. De toute manière, elle pouvait largement le faire, puisque mon père gagnait tout l'argent dont nous avions besoin. Et puis, j'avais besoin d'amour, pour m'épanouir correctement ; comme une mère veut que son enfant grandisse.
Chapter Two...
la suite n'est pas toujours idéale
La seule personne à s'occuper de moi, à me faire existée, était ma mère. Sans elle, on m'aurait certainement abandonné, délaissé. On m'aurait laissé mourir de faim, d'ennui, de tristesse. C'est elle qui m'a apporté, bébé, l'attention dont j'avais besoin. Mon père rentrait très tard le soir, il était très souvent en voyage d'affaires, et ma génitrice savait pertinemment qu'il voyait d'autres femmes. Pourtant, elle l'aimait comme au premier jour et avait besoin de son argent ; elle ne pouvait donc pas se permettre de demander le divorce, ou la séparation.
Pourtant, quand j'ai eu quatre ans, elle m'a bien expliquer qu'elle devait partir. Que même si elle m'aimait, elle devait s'enfuir, me laisser avec mon père. Que même si j'allais être triste, j'aurais une belle vie, pleine de cadeaux, et que j'aurais toujours ce dont j'aurais besoin. Bien sûr, elle savait que je ne comprenait pas vraiment, que je ne me rendait pas compte. Mais elle savait aussi que la chose qui me manquerait, la plus importante, c'était sa présence et son amour. Mon père fut triste, apprenant la disparition de sa femme. Il se rendit compte de toutes ses erreurs en un rien de temps, mais se remit encore plus dans le travail, comme certains se plongent dans l'alcool, pour oublier tout ses problèmes.
Chapter Three...
dans toutes les histoires, il y a des problèmes
Moi, j'étais encore toute gamine, je ne comprenait pas bien encore tout ce qui arrivait. Pourquoi, d'un coup, j'avais plus de cadeaux que de câlins. Pourquoi des gens que je ne connaissaient pas venaient me rassurer quand je faisait des cauchemars. Pourquoi, d'un coup, ma mère ne venait plus me border le soir. Mon père se sentait coupable. La culpabilité le rendait fou peu à peu. Il dépensait son argent sans compter, et il en avait toujours plus. Il ne savait plus quoi m'offrir, j'avais à présent presque tous les jouets qu'un enfant de huit ans pouvait vouloir.
La suite de mon enfance fut exactement pareille. Je ne voyait quasiment plus mon père. Je n'avais plus de parents... une mère qui m'avait abandonnée, un père qui semblait ne pas m'aimer. J'avais tout perdu, sauf les joujoux idiots que l'on m'offrait chaque jours. J'avais de plus en plus hâte d'être majeure, pour enfin pouvoir partir, me libérer de cette prison dorée.
Chapter Four...
et des solutions
Lorsque j'ai eu dix-sept ans, je me suis dit que ça suffisait. Cette vie n'en étai pas une. On ne faisait pas attention à moi. Je pouvais terminée droguée dans une soirée et rentrer chez moi sans que l'on ne s'en aperçoive. Tout le monde, au lycée, me parlait de ses parents trop gênant, étouffants, aux idées absurdes. Moi, je leur parlait d'un manque. Alors un jour, j'ai décider de m'enfuir de chez moi, comme l'avait fait ma mère treize ans plus tôt. J'enfouis dans mon sac de cours de quoi me nourrir, quelques vêtements, mon fidèle blackberry et un gros paquet d'argent.
Juste avant de sortir de chez moi par la porte de derrière, la porte d'entrée sonnait. Quelqu'un passait me rendre visite juste au mauvais moment... Je déposait le sac et partis ouvrir. Là, un homme m'expliquait que mon père avait eu un terrible accident de voiture, qu'il était mort sur le coup. Moi qui en avait marre de cette grande maison et de tout cet univers, j'étais à présent propriétaire de la villa et de l'entreprise de mon géniteur. Je l'offrait bien entendu au meilleur ami de mon père, mais je du garder la maison, et tout le reste.
Chapter Five...
et ils étaient heureux
Aujourd'hui... Mon passé est passé. Je suit des études d'art, je suis connue dans toute l'université. Je suis une fêtarde-dragueuse, je profite de ma jeunesse ; je suis riche puisque j'ai hérité de tout les biens de mon père. Je suis heureuse, malgré un manque parental énorme...