Cet homme devenait quelqu’un d’autre de jour en jour, il c’est mit à boire pour je ne sais quel raison. Un soir à la maison, il est rentré complètement bourré avec des amies à lui. Cela faisait que quelque mois qu’il était avec ma mère. Et je l’ai vu traité ma mère comme une traîner ! Je suis sortit de mes gond. Je devais avoir que 10 ans à peine. Et je ne me suis pas laisser faire, il m’a même giflé. Ma mère est arrivée en courant vers moi, j’étais tombé par terre, en larme. Ma sœur pleurait également, je l’apercevais caché dans les escaliers. Et elle m’a prise dans son étreinte, me serrant très fort contre elle. Quand à lui, il nous fixait avec de grands yeux. Ses amis sont partit et ma mère lui as mis une énorme gifle en criant « Ne touche plus jamais à un cheveu de ma fille ou tu risquerais de le regretter ! Maintenant barre-toi de chez moi ! » Il est partit le sourire aux lèvres et le rire en éclat. Ma mère était terrorisé je le ressentais, elle tremblait. Elle avait tout de même eu le courage de me protéger ou du moins de le faire partir sans que cela ne tourne en catastrophe. Bien que je n’aurais pas aimé me prendre la même gifle qu’il avait reçu. La soirée c’est ensuite très bien terminé, ma mère à accepter que l’on vienne dormir dans son lit. La journée avait était très dur. Les autres passages de ma vie sont encore très douloureux. J’ai beaucoup de mal à la raconté, je n’aime pas en parler. Avec ma sœur, on se dispute très souvent. Elle sort beaucoup et ne passe presque plus de temps avec moi, c’est limite si elle m’abandonnait. Notre mère avait beau la disputer, elle s’en fichait. Puis un jour, le téléphone a sonné. Ma mère à décrocher et à parler même pas dix seconde avec son interlocuteur. Elle c’est mise à pleurer, j’étais la seule encore présente dans la maison. « Je suis malade. » Le médecin avait appelé suite à la consultation que ma maman avait eu quelques jours avant. Elle n’était pas sûr d’avoir quelque chose, mais elle avait préférer prendre rendez-vous au cas où et ça n’a pas manqué ! Elle a un cancer de la gorge. Son père en est mort également, alors j’avoue que j’avais peur ! Ma sœur n’était même pas là pour la réconforter ! J’en tremblais toutes les nuits. Je n’avais que quatorze ans et je comprenais tout à fait ce que sa pouvait entraîner … la mort. Je n’arrivais pas à me dire que je pourrais perdre ma mère à n’importe quel moment. Elle est retourné chez le médecin l’année d’après et il lui a avouez qu’il ne lui restait minimum deux ans encore à vivre. Son était empiré de jours en jours. J’étais terrorisé et ma sœur préférer être avec ses copains/copines ! J’avais honte d’elle, honte de ce qu’elle était devenue. En plus de ça, elle commençait à boire, à fumer. Ses fréquentations sont très mauvaises et ma mère n’avait jamais cessé de me remercier d’être à son chevet. Je le devais, je n’avais plus qu’elle. Je n’avais aucune envie qu’elle quitte se monde. Mes notes chutèrent de plus en plus. J’ai dix-sept ans et j’ai décidé d’arrêter les études pour être auprès de ma mère, m’occuper d’elle. Je me suis mise à la recherche d’un job à mi-temps, je suis devenue serveuse dans une boite de nuit, normalement je n’ai pas le droit car je ne suis pas majeure, mais dans tout les cas s’il y avait la police je me faisais passer pour une cliente, je travaillais donc au black. Donc je travaille la nuit et je rentre à des 5 heures voir 6 heures du matin. La journée, je la consacrais à ma mère. Un soir, je suis allez travailler. J’étais à pied, je n’avais pas le permis. Il faisait nuit et il y avait cet homme qui n’arrêtais pas de me suivre. J’empruntais beaucoup de petite ruelle en plus, j’étais terrifié. Il a commencé à courir sur moi, je ne cours pas vite donc il m‘a sauté dessus. Il m‘a entraîner dans une sorte de cabane toute en taule, si j‘hurlais il me tuait. Il m’a alors fixé dans les yeux et a commencer à sortir son engin de son pantalon. Je tremblais et je pleurais toutes les larmes de mon corps. Il m’avait mis sa ceinture autour de la bouche pour que je ne cris pas. Une fois qu’il avait tout sortit, il avait retiré sa ceinture pour m’enfoncer son truc dans ma bouche. C’était horrible ! Dégeulasse, il m’a ensuite pénétré. J’avais déjà fait l’amour avec un autre garçon, mais là plus jamais je ne toucherais au sexe ! Cela m’a complètement horrifié. Quand j’en reparle, j’ai honte. C’est pour ça que je garde tout pour moi. Il n’y a que le videur qui est au courant, ainsi que ma mère, qui est décédé quelques mois après ça. Elle m’a juré « Quand j’aurais rejoins ton père là-haut, se fils de p*te on s’en occupera. » De là-haut, elle ne pouvait rien faire. A part, peut-être le maudire et encore. Mon violeur, je l’ai revu lorsque je travaillais. J’avais le permis, donc plus besoin de passer ses nombreuses ruelles et je fêtais mes dix-huit ans en plus. J’étais assise sur la banquette avec des amies, il ne m’avait pas aperçu. J’ai était voir un ami, comme un frère pour moi. C’est le videur de la boite de nuit, il l’a empoigné en le sortant de la boite et il lui a fait sa fête ! Ensuite, il l’a emmené chez les flics. J’étais avec lui. Ma mère n’était plus de ce monde, mais j’ai regardé vers le ciel en faisant un clin d’œil. Et j’apprends quelque mois après qu’il serait enfermé a vie. J’étais enfin venger. Ma mère est morte depuis deux ans aujourd’hui, je suis âgé de dix-neuf ans et je n’ai plus de nouvelle ma sœur qui est partit de la maison deux mois après la mort de notre mère. Elle n’est pas au courant de mon viol et ne sais presque rien de moi à présent. Nous n’avons plus ce lien. J'habite à Miami à présent et je suis toujours serveuse dans une boite de nuit assez réputé, j’aimerais reprendre mes études pour ma mère, qu’elle soit fière de moi. Ceci dit pour m’en sortir, je vends de la drogue. Cela me rapporte plus de deux-mille euros par mois. Alors, financièrement je m’en sors plutôt bien. Je n’ai pas eu de relation amoureuse depuis longtemps et de ce côté-là je ne sais pas si ça arrivera un jour. J’ai tout perdu en même pas deux ans. Ma sœur et ma mère, ainsi que mon père à ma naissance. J’ai encore la vie devant moi et j’ai peur de ce qui pourrait m’arriver.