© TUMBLR.
ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE 18 ans, 19 Novembre, Paris.
STATUT En couple
NATIONALITÉ Français
MÉTIER/ÉTUDES psychologie - philosophie
GROUPE KCO.
.
La fin du début.. ou le début de la fin. Oh et puis merde.
HUGO « Papa ? Papa !? »Un lourd silence me répondit. Peut être est-il sortit ? Non, ça serait bizarre. La dernière fois que je l'avais vu dehors, c'était à cette étrange cérémonie où on avait mis maman dans la terre. Depuis, elle ne venait jamais nous voir. Mamie m'avait expliqué que Maman était partie, je lui avais répliqué qu'elle m'avait promis de ne jamais me laisser. Mamie m'avait souri puis était parti, car Papa était très en colère et l'avait mis dehors. On ne m'avait pas donné plus d'information. Je continuais à fouiller dans la maison lorsque j'entendis du bruit à l'étage, peut être avait il été se laver et ne m'avais pas entendu ? Je me dépêchais à monter les escaliers.
HUGO « Papa ?! »Rien à faire, mon père semblait ne plus m'entendre. J'avança jusqu'à la salle de bain. Un long frisson glaça mon corps, tandis que je courais jusqu'à mon père. Il avait les yeux clos, tout était normal. Il devait s'être endormit dans la baignoire. Mais l'eau ? N'était-elle pas censé être bleu ? Pourquoi donc avait elle cette teinte rouge ? La panique me gagne tandis que je secouais mon père. Son corps était si froid... J'en eue la chair de poule. C'est à cet instant là que je remarquais son bras ensanglanté et le cutter abandonné plus loin.
HUGO « Papa ! Réveille toi ! Papa !! » Quelle bande de lâche, ils m'ont abandonné.
Tout le monde était habillé en noir. Un silence seulement troublé par la prière du prête commençait à peser lourd sur mes petites épaules et je ne pouvais retenir mes larmes lorsqu'on mit papa dans la terre à côté de maman. Pourquoi on les enterrait et pas moi ?
HUGO « Mamie ? »Elle me regarda avec tendresse, prête à tout pour rendre ma vie plus douce. Je tirais sa manche pour qu'elle se baisse, ainsi je pourrais lui poser ma question en toute discrétion. En aucun cas je n'aurais voulu que quelqu'un se moque de moi.
MAMIE « Oui mon ptit Hugo ? »Je me hissais sur la pointe des pieds pour me mettre à la hauteur de son oreille
HUGO « Papa il est parti rejoindre maman ? »Le léger sourire qui rendait son visage moins vieux se fana et en reniflant elle me sera contre elle.
MAMIE « Oui mon ptit, il en avait assez d'être seul. »HUGO « Mais il n'était pas seul, j'étais là moi. Et puis, Mamie, c'est quand que moi je les rejoint ? » Elle me tapota gentiment la tête avant de se moucher puis se redressa. Une grande tristesse couvrait ses traits, comme un masque noir avec lequel on ne pouvait rien voir et à peine respirer. Elle se dirigea vers l'auto, car le temps se couvrait et que la cérémonie se terminait. Mon visage était tout mouillé à cause de mes larmes tandis que je pénétrais avec mes chaussures pleines de boue dans l'habitacle rassurant du véhicule. Un ronronnement régulier m'aida à m'endormir alors que ma joue s'appuyait avec force sur la vitre froide. Mamie se tourna vers moi alors que papi accélérait.
MAMIE « Jamais Hugo, jamais. » En cours
Quelques années étaient passées, je vivais tranquillement dans le centre de Paris avec mes grands-parents. La tristesse sourde des premiers mois se dissipait pour devenir un tristesse muette. Une tristesse enfuit dans mon coeur meurtrie. On dit que les enfants oublient plus facilement que les adultes. Je suis d'accord. J'avais perdu les deux êtres les plus importants pour moi, pourtant c'était mes tuteurs qui sombraient le plus dans la tristesse. C'est ainsi qu'on parti. En fait, je pense plus qu'ils ont fuit les souvenirs bien trop présent de mes parents. On est parti s'installer à Miami.
HUGO « Pourquoi on part Mamie ? »Ma grand-mère ne m'as jamais vraiment répondu. Elle changeait de sujet ou me donnait des réponses évasives. Il restait bien mon grand-père, mais il s'était enveloppé d'un tel aura de tristesse et de solitude que je n'osais même plus le regarder en face.
Mon coeur me dit que c'est ta fête, je crois toujours mon coeur quand il parle de toi
Comment pourriez-vous vous décrire? Moi ? Je pense avoir quelque qualité physique qui peuvent satisfaire ma compagne... Un intellect plutôt développer, mais aussi une grande bonté d'âme. Bon bien sûr, je n'ai pas que des qualités, j'avoue être jaloux et beaucoup trop franc. La franchise est une qualité tant qu'elle ne blesse pas d'après moi.
Que prendriez-vous avec vous sur une île déserte? Je prendrais tout d'abord ma copine, sans elle je serais complètement perdu. Elle est ma boussole. Après.. Après tout parait tellement.. pâle. Sans intérêt aucun, tant que Calypso est là, tout va bien.
Quel est pour vous l'homme ou la femme idéale? J'ai déjà la femme idéale. Elle est douce, attachante, belle, drôle... Elle me correspond en tout point, elle est une partie intégrante de moi. Quand elle est là, nous fessons plus qu'un. Je pense que nous sommes intimement liée, qu'elle a une sorte de télécommande qui dirige les folies de mon coeur.
Dans une soirée, un homme ou une femme viens vous aborder, et puis au bout d'un moment il ou elle vous fait comprendre qu'il(elle) aimerait passé à la vitesse supérieur, comment réagirez vous? Si quelqu'une venait à agir de la sorte, je pense que je la remettrais rapidement à sa place. Je ne suis pas du genre a trompé Calypso, je me suis donné beaucoup trop de mal pour l'avoir et la perdre ainsi serait tout bonnement idiot.
Une alerte tsunami a été mis en place à Miami, qui appelleriez vous en premier? Et si vous deviez choisir entre votre vie ou celle d'un proche qui choisiriez vous et pourquoi? J'appellerais Calypso, immédiatement. Je lui annoncerais calmement, la rassurant et lui expliquant la situation. J'espère que personne ne me demandera de laisser ma place.. Je pense que j'agirais en égoïste pour une fois, que je ne laisserais ma place à personne. Hors de question d'abandonner ma tendre et encore moi si Carter et encore vivant.
.
PRÉNOM/PSEUDO //.
ÂGE //.
AVATAR Gaspard Ulliel.
CODE DU RÈGLEMENT Vanilla Ice ice yo man let's get out of here
TON AVIS SUR ST J'aime
.
AUTRE