Une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, une femme qui a trois amants est une femme. ♣ victor hugo.

J'étais nouvelle à Miami. J'étais arrivée en cours d'année, les bandes étaient -pour la plupart- déjà formée. On m'a souvent dis " Aphrodite, tu es trop timide, tu ne te feras jamais de place dans la société si tu es si réservée. ". Les gens qui disent ça s'y connaissent pas mal. C'est même sur. Ils ne peuvent pas savoir à quel point c'est dur de rester seul, sans compagnie. Ils ne peuvent pas se rendre compte du mal que cela peux faire à beaucoup de jeunes. Je ne faisais pas partit de ceux qui sont populaires, de ceux qui arrivent rapidement à s'intégrer dans une petite bande d'amis. Le fait que j'étais la " petite nouvelle " n'arrangeait rien à mes affaires. Je n'avais pas l'habitude d'être étiquetée ainsi. En Angleterre, j'avais toujours été dans le même établissement. Et le temps avait rapidement fait son œuvre, je m'étais rapprocher d'une bande de fille dès mon arrivée. Le feeling était rapidement passé entre nous, nous avions la même passion en même temps, nous étions toutes accrocs à nos instruments de musique respectif. Chacune d'entre nous avait sa spécialité, moi c'était la guitare et le piano. Une autre était très douée au chant, une autre à la basse etc... Nous avions des influences musicales très différente. J'ai toujours aimé Queen. En particulier cette chanson... Somebody to love. C'était un fait, j'aimais l'écoutée en boucle quand mes parents étaient occupés autre part et que leur attention n'était pas portée sur ma petite personne. Mon père était un vrai fan si je puis dire, il aimait beaucoup Queen et avait plusieurs fois assister à leurs concerts. Il avait d'ailleurs rapporter des tonnes de photos du groupe.

Les cours n'étaient vraiment pas passionnants. Je ne supportais pas vraiment de rester une journée entière, assise dans une chaise inconfortable mais je devais faire avec. L'instruction est la base de tout. Pour pouvoir penser librement, il faut être assez instruit pour en avoir les pleins pouvoirs. Du moins, c'est ce que l'on a toujours dit dans mon entourage. Je suppose que c'est vrai. On doit mériter cette liberté. On ne peux pas se permettre de donner son avis sur telle ou telle chose alors que nous avons aucune éducation derrière. Bref. Je supportais ses heures de cours malgré mon envie persistante de m'évader à la plage. Si mes parents entendaient ça... Non, je devais rester concentrer sur les cours. Aucune distractions. Mon regard virevolta d'une table à l'autre dans la triste salle de cours. Un cours d'histoire, en plus. Un garçon assit à mon opposé posa ses prunelles sombres sur moi, ce qui provoqua un frisson rapide dans ma colonne vertébrale. Je n'aimais pas qu'on me regarde. C'est idiot, je sais. Je sentis ses yeux noisettes scrutés les moindres recoins de mon être avant de se détourné et de regarder le tableau grisâtre. Un sourire, au coin de mes lèvres, se dessina lentement. Il illumina mon visage assombrit par cette journée pluvieuse. Pour une fois qu'il pleuvait à Miami. Je re-concentrais mon attention sur le cours et prenais habillement des notes quand il y en avait besoin.

Driiiiiiiing. La sonnerie retentit. La classe sembla se réveillée, si calme auparavant, là, elle ne l'était plus. Le brouhaha raisonna dans la petite salle, des rires montèrent autour de moi, des " au revoir madame " se firent rapidement entendre alors que les premiers élèves passaient le pas de la porte. Je me levais en un mouvement ample et gracieux et prenais le même chemin que mes amis, enfin, amis. Que mes " collègues " disons. J'avançais jusqu'à la porte quand un abrutit sortit de la salle en courant, il me bouscula et j'en fus déroutée. Tellement que je manquais de m'étaler par terre. Je me retenais de justesse à l'encadrement en bois de la porte. J'entendis un " ça va " derrière moi auquel je répondais pas un hochement de tête. Ça va, je gère. Ouais, j'en suis sure. Je pris une grande inspiration, tiré légèrement sur le bas de ma jupe et repartais. Je passais rapidement dans le couloir bondé. Tantôt obligée de me décaler vers la droite, tantôt vers la gauche. Murmurant des pardons maladroits. Je trébuchais une fois. Je regardais rapidement autour de moi, personne n'avait vu. Je me dirigeais alors vers les toilettes pour fille. Une fois à l'intérieur, je me dirigeais vers les lave-à-beaux et y déposais mon sac à main dans lequel je plongeais ma main à la recherche de mon crayon, sans succès. Je me tournais vers le groupe de fille à côté de moi et d'une voix posée et naturelle je leur demandais... « Excusez moi, vous n'avez pas un crayon à me prêter? J'ai oublié le mien chez moi... »

Les gens, depuis toujours, me trouve insociable. On me dit que je critique trop facilement les personnes que je vois passé sous mes yeux. J'ai beau leurs dire encore et encore que je n'y peu rien, ils s'en fichent et moi de même ! Peu importe ce que pensent les gens de moi, du moment que je sois moi un point c'est tout. Je ne suis personne sauf moi-même ou des amis extrêment proche comme Orion ou Ethan. Oui je sais, ce sont que des mecs mais je n'y peu rien je m'entend bien (généralement) avec eux. Dans mon ancien lycée, lorsque je suis arrivée, on m'a trouvé trop coincée puis lorsque je me révélé au grand jour on m'a trouvé trop allumeuse. Je ne le nirai pas. Bref, depuis l'eau à couler sous les ponts et j'ai bien changé les coconuts. Je ne vis plus a New York, mais a Miamer où j'ai une superbe maison, malheureusement elle est bien vide sans "joyeuse compagnie". Ce que j'apelle "joyeuse compagnie" son mes coups d'un soir pour faire simple et cour. J'aime faire la fête comme une adolescente, rentré bourré et me taper des mecs (uniquement lorsque je suis célibataire et en déprime plus que total).
Aujourd'hui était encore une de ses journées radieuse où l'on pourrait aller se baigner, faire la fête comme aux vacances de printemps. La journée commençait tout juste. Ce matin je n'ai que des cours de litterature anglaise, une vraie torture ! Comme toujours avant d'aller en cours j'ai pris grand soin a être parfaitement bien habillé. Puisqu'il faisait beau j'étais en jupe assez courte à fleur avec un haut simple mais mes bijoux le rendait unique. Avec cette ensemble je portait des talons haut, au moins dix centimètre.
Je marchait; à la pose de dix heure, avec fierté dans le long couloir blanc de l'université qui menait jusqu'au toillette. Comme toute les filles j'avais besoin de me faire une beauté et je suis d'ailleurs bien équipé ! J'ai tout ce qu'il me faut pour me remaquillé ou tout simplement me maquillé quand je n'ai pas le temps, mais sa n'arrive jamais. Bref, alors que j'arrangai ma coiffure une jeune femme prit parole en me demandant si j'avais un crayon. Elle était grassieuse comme un mainnequin avec un jolie visage angélique. Je lui souris puis lui répondit gentillement (oui je sais être gentil): « Oui bien sur, le voilà » Je sortis ma pochette crayon de secours et lui tendit pour qu'elle choissise une couleur. Elle n'avait pas l'air choqué de tout cette assortiment ni de mon sac et pochette de luxe. Elle me remercit bien timidement pour une fille aussi belle et cela m'intriguait. A sa place je ferai tout pour que l'on me remarque, mais bon avec cette tenu ... NON ORHAN ARRETE SA TOUT DE SUITE ! ... Je souris à nouveau lorsqu'elle me rendit mon crayon, je le rengea dans ma pochette puis dans mon sac et avant qu'elle ne parte en "courant" je lui dissa avec douceur: « Très jolie tenu, du Givenchi ? ». La jolie fille se retourna.

Une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, une femme qui a trois amants est une femme. ♣ victor hugo.

JE n'ai jamais vraiment chercher à attirer le regard sur moi. J'ai peut-être des formes agréables au regard, mais ce n'est pas une raison pour laisser la porte ouverte comme dirait ma mère. Je ne suis pas ce genre de fille qui s'amuse à séduire n'importe qui rien qu'en portant des choses très courtes ou des hauts plongeants. Je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas une prostitué. J'aime la mode c'est vrai, j'aime être bien habillée, même dans des vêtements de marque. Je n'ai pas peur de montrer que j'aime m'habiller avec des fringues hors de prix. L'argent est une chose banale. Il n'y a pas une seconde de notre vie dans laquelle on dépense de l'argent. De n'importe qu'elle manière d'ailleurs. Ceux qui ont les moyens sur surement privilégier par rapport au reste des personnes, c'est un fait. Mais ce n'est pas une raison pour se venter au nez de tous. Je porte des vêtements de marque, c'est vrai. Je peux facilement dépenser une immense somme d'argent pour un bracelet -ce que je ne ferais jamais- et cela ne changerais rien à mon compte, il ne passerait pas dans la rouge malgré cette somme immense. Je suis riche et j'assume, c'est comme ça. Vous préféreriez que je me plaigne sans cesse que telle ou telle chose à augmenter alors que je n'en ai pas la moindre idée? Je pais mes contraventions moi même, mes parents n'ont pas besoin de faire de crédit dans leur banque. Je suis riche, et alors? L'argent ne fait pas le bonheur dans la vie. On n'achète pas l'amour d'une personne. Sauf pour les danseuses de la nuit, mais ça, c'est autre chose. Ne venez pas vous plaindre que je me vente de mon argent, j'ai des fringues de luxe certes mais uniquement parce que je les aime. Je sais aussi m'habiller banalement, comme vous. Je ne suis pas une extraterrestre après tout.

La séduction était un art lequel je n'excellais pas, c'était clair et net ça. Je ne connaissais rien. Trop coincée, trop pure et innocente surement. Trop insouciante, trop adulte. Je ne connaissais rien à l'univers de la fête et de la débauche et quand je dis rien, c'est exactement ce que je veux dire. Je n'ai jamais, au grand jamais, toucher une bouteille d'alcool pour me délecter de son précieux liquide, rien. Je n'avais jamais eu cette ivresse de tenir une cigarette entres mes doigts fins, je n'ai jamais ressentit ce manque dévorant de nicotine dans mon corps. Je n'avais jamais toucher à quoi que se soit. Je suis restée parfaitement innocente durant vingt ans. Je n'ai jamais succomber à telle tentation, je suis restée dans le droit chemin, m'égarant uniquement pour repêcher un agneau égaré mais rien de plus. Je suis l'exemple même de la future vieille fille. Sans atouts, sans pouvoir de séduction, seule. Mais là n'était pas le problème. Le problème était le reste du monde. Si un garçon venait à m'aborder sur des airs de séducteur, je ne vois pas comment je ferais pour me débarrasser en douceur de cet impertinent, peut-être avec un " Désolée, je suis prise " très convainquant. Il persiste? Ok, un jolie coup dans la partie sensible avec un gentil " Je suis pas intéressée " avec un large sourire sur le visage. Non, ce n'est pas mon genre, pas du tout. Je le rejetterais gentiment en espérant qu'il comprenne que je ne suis pas intéressée. C'est tout.

Je me regardais rapidement dans le miroir pour y voir une jolie blonde, le visage éclairé par un sourire lumineux. Je voyais une adolescente normale, avec un teint légèrement mate, brunit par les nombreuses heures passées sous le soleil. Je replaçais une mèche de mes cheveux derrière mon oreille puis demandais un crayon. Une rousse sulfureuse répondit. « Oui bien sur, le voilà » Un large sourire sur son jolie minois, elle me tendit une pochette de crayon. Je ne fus pas étonnée par toute cette diversité de couleur. J'avais exactement le même choix de couleur dans ma coiffeuse, chez moi. J'aimais avoir plusieurs choix de couleur pour me maquiller, j'aime m'accorder, même un minium, à mes vêtements. J'attrapais finalement un crayon banal, noir. J'approchais mon visage du grand miroir et passais avec agilité le dit crayon sur mon œil. J'arrangeais ici et là le maquillage sur ma paupière gauche puis le rangeais dans la pochette avant de me rapprocher de la rousse, je lui tendis sa pochette. « Merci beaucoup ! » Un sourire illumina mon visage une fois de plus, je la saluais d'un mouvement de tête puis retournais vers mes affaires. J'arrangeais rapidement mon haut à travers l'image que renvoyée le miroir, tiré légèrement vers le bas de ma jupe puis arranger mes bijoux. J'avais choisis une tenue banale pour une fois. Derrière moi, la voix de la rousse sulfureuse retentit.« Très jolie tenu, du Givenchi ? ». J'esquissais un bref sourire et me retournais.« En partie oui, je suppose, j'ai cet ensemble depuis déjà un bon moment... Comment l'avez vous remarquer? » Curieuse oui. C'est vrai. Mais là, c'est approprier. Quelqu'un a réussit à deviner la marque de mes vêtements dans même prendre le temps de me le demander. Intéressant.

Depuis mon plus jeune âge je suis une fille qui suis la mode de très près. Je tiens tout cela de ma mère, voilà dont la seule chose que nous avions le plaisir de partagé. Avec tout l'argent que nous avons, nous pouvons acheté tout ce que l'on désire, mais avec le temps on se lace de l'argent et de ses multiples plaisir. Bien sur j'adore me payer des tenus hors de prix avec bijoux, maquillage assortie, mais sa c'est mon moi naturel. L'argent ne peut pas tout acheté puisque tout simplement tout ne s'achéte pas. Orion est un de mes amis les plus sincère, nous nous sommes connus au lycée et depuis rien a changer. Il n'est jamais resté avec moi juste parce que je suis richissime, non il s'en fiche lui aussi. C'est bien triste tout de même. Dans ce bas monde je n'aurai donc trouvé une personne moyenne qui m'aimerait pour mon moi tout cours et non le moi + argent. Voilà la seule que je regréte, je pas avoir trouvé l'amour. Je chercher encore et encore, masqué par des joyeuse compagnie et des fêtes à la Skins. Je l'avoue, mais a quoi le nier. Je suis une grande sensible. Je déteste que l'on me juge alors que personne ne me connais vraiment. Je déteste lorsqu'on me met une étiquette sur le front comme "Multi-milliardaire" et alors ? Pour le moment l'argent ne m'apporte aucun bonheur, ce n'est qu'un accessoire de la vie.
La jeune et jolie femme avait toute l'allure de ses Dames, l'élite de l'élite et a vus d'oeil je pouvais constater qu'elle avait eu le même enseignement que moi. C'est que depuis je me suis pas mal dévergondé, mais ma mère ni a jamais été opposé. (normal elle se tape des petits jeunes). Cependant, mes principes non pas changé tout comme ma façon de pensé. La jeune se retourna et sourit légèrement avant de reprendre « En partie oui, je suppose, j'ai cet ensemble depuis déjà un bon moment... Comment l'avez vous remarquer ? ». Voilà un sujet de disscution intéressent. Le Givenchi, je connais. Lorsque j'avais une douzaine d'année j'ai fais un stage chez eux, à Paris et depuis je reconnais leur tenus à des kilomètres. Dans la mode, chaque maison à sa méthode de fabrique et celle de Givenchi et la plus complexe. Je souris à mon tour et dit tout simplement « C'est très simple, Givenchi mélange les formes des anciennes saison au couleur de l'année. Par exemple, ta tenu fessait partie de la collection de 1975 il l'on juste remis au goût du jour. La mode est un cicle répétitif, tout ce reprend. Sauf que cette tenu à au moins un an ... Bref, seul Givenchi fait des tenus assez simple puisque Dior et Chanel eux font tout le contraire. ». Je souris à nouveau, extrêment fière de moi. Oui, la mode je m'y connais sa ce vois non ?! Maintenant, malheureusement j'ai bien du mal à m'arrête parce que lorsqu'on parle mode eu ... je pense que vous allez vite comprendre. « En tout cas, excellent choix de chaussure. Ca met votre visage en valeur. » Les gens achéte souvent une tenu et puis c'est tout, il ne rajoute rien. ERREUR ! Une tenu n'est jamais vraiment complète il l'adapter à vous même sinon sa donne quelque de vraiment imonde. Je me regardai a nouveau afin de remettre mes cheveux puisque tourna la tête vers cette jeune femme. Qui était-elle ? « Comment vous vous appelez ? » La curiosité reprend souvent de dessus. J'aime savoir simplement à qui je m'adresse. Tout ce donc je suis sur c'est qu'elle n'est pas une de ses pinbéches qui se croivent belle alors qu'elles ne savent même pas s'habillé seule ! Pitoyallable ...

Une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, une femme qui a trois amants est une femme. ♣ victor hugo.

En fait, je suis une fille simple. Oui, je ne suis pas une de ses poupées égocentrique que l'on peut facilement croiser dans la rue. Certes, ce sont ses demoiselles qui attirent le plus le regard de la gente masculine. On se retourne pour les observées, pour les détaillées. Pour les matées. On s'arrête près d'elle, on les drague, on leur file notre numéro, un tire un coup et on repart. Filles faciles. Il ne faut pas tomber dans ce piège. On veux tous plaire à un moment ou un autre de notre vie mais ce n'est pas ainsi qu'on y parviendra. Ce n'est pas avec du silicone dans la poitrine pour faire augmenter son volume qu'on séduira la seule personne qui nous attire. Cette personne que l'on connait mieux que personne et vise versa. Elle sera étonnée, dégoutée aussi surement. Elle l'oubliera bien vite, elle passera à autre parce que finalement, vous serez comme toutes les autres, vous serez aussi faibles et mal dans votre peau. Après tout, elle aura raison. Et vous, vous le saurez aussi, mais la vérité est trop dure à encaisser. Vous finirez seule à cause de votre stupidité. Restons naturel bon Dieu ! C'est le seul moyen de plaire vraiment. Ce n'est pas en changeant du tout au tout pour l'élue de votre cœur, celui qui ne ressent rien de particulier à votre égard, qui le fera changer d'avis sur votre personne. Votre action ne fera qu'envenimer les choses. Ce n'est pas parce qu'il n'aime pas les rousses, qu'il ne vous aime pas à vous. Trop tard. Une couleur de faite. Le blond, sa couleur de cheveux préférée. Pathétique.

Bleu clair. Mes yeux. Ils sont bleus clairs. Tout comme ceux de ma mère. Mon père, lui, a hérité des prunelles vertes de son paternel. Mes parents ont des beaux yeux, c'est clair et net. J'ai surement hérité de cette caractéristique car on m'a souvent fait des compliments plus qu'élogieux à leurs égards. C'est vrai que je n'ai pas à me plaindre de mes yeux, c'est l'une des parties de mon corps que je préfère. Avec mes cheveux. J'étais blonde naturellement, ce qui est difficile à croire quand on voit les cheveux bruns de mes parents. La génétique est compliquée c'est vrai mais il y a peu de temps, j'ai appris d'une tante à moi était blonde elle aussi, je me sens moins seule du coup. On m'a souvent demander si ils étaient de cette couleur naturellement, c'est dur à croire peut-être? Surtout pour une anglaise? Et bien, je répondais que oui et puis que si ils ne me croyaient pas, c'était leur problème, point. Je n'avais jamais essayer de les coupés. Je les avais toujours garder long, c'était une chose à laquelle je m'étais rapidement habituée et je ne voulais pas sortir de cette habitude. Je me voyais mal les cheveux courts, ce n'était pas vraiment mon style. Je les préférais long, tombant en cascade sur mes épaules. Une habitude idiote. Mais une habitude quand même.

Je la jaugeais d'un regard expert. Elle était sublime c'est vrai. Surement la plus belle rousse que je n'ai jamais eu le plaisir de voir dans ma vie. Cheveux longs, larges boucles parfaitement dessinées, taille de guêpe. Une femme parfaite quoi. Elle était parfaite, pas moi. « C'est très simple, Givenchi mélange les formes des anciennes saison au couleur de l'année. Par exemple, ta tenu fessait partie de la collection de 1975 il l'on juste remis au goût du jour. La mode est un cicle répétitif, tout ce reprend. Sauf que cette tenu à au moins un an ... Bref, seul Givenchi fait des tenus assez simple puisque Dior et Chanel eux font tout le contraire. » Je ne sus quoi dire. Je la vis bomber le torse, fière d'elle. Elle semblait bien fière d'elle cette rouquine. J'aime bien. J'esquissais un simple sourire. « Je vous crois sur parole écoutez. Mais c'est vrais que la mode est un cycle répétitif, cela n'enlève rien au charme de certains vêtements qui plus est. » Je souris de plus belle. La plupart des vêtements que mon dressing contenait été de toutes les années. J'aimais les ressortir dès que j'en avais l'occasion, dès que j'avais le bon ensemble ou alors uniquement parce qu'en fouillant, je retrouve un petit top que j'adore et que j'avais oublié. C'est souvent comme ça avec moi. Ce ne semblait pas être le cas pour la rouquine en face de moi, elle abordait une magnifique tenue qui semblait être toute à fait de la tendance actuelle. Une accroc à la mode surement. Ce n'est pas plus mal, il en faut. J'en fais partit aussi remarque. « En tout cas, excellent choix de chaussure. Ca met votre visage en valeur. » Je regardais automatiquement mes pieds. J'avais mis de simples chaussures pourtant, les premières qui allaient bien avec la tenue que j'avais choisie. Je ne passais pas des heures à choisir les chaussures parfaites, je prenais simplement celles que j'affectionnais le plus pour telle ou telle tenue. « Merci... » J'esquissais un bref sourire dans le vent puisqu'elle avait concentré son attention sur son reflet dans le miroir, je m'apprêtais à sortir des toilettes quand elle m'adressa à nouveau la parole. « Comment vous vous appelez ? » Je la regardais puis me rendais compte que c'est vrai, nous ne nous connaissions pas. « Aphrodite Claes, je suis nouvelle... » Pause. « Et vous? Si ce n'est pas trop indiscret bien sûr... » Manières de mes deux. Je passais surement pour la pire coincée du monde. Mes doigts se serrèrent lentement autour de la hanse de mon sac par nervosité. Pourquoi je paniquais? Il n'y avait rien de paniquant dans la situation... Deux jeunes femmes qui se découvrent, c'est tout naturel...

La mère m'a toujours dit de croire au prince charmant, mais je n'y crois plus depuis bien longtemps ... Un jour alors que je n'étais qu'en seconde je suis tombé amourse de l'Homme parfait. Parfait de la tête au pied jusqu'au plus profond de son coeur. Je ne pouvais désirer plus ou rêver de mieux. Nous suivons tout deux le même cours de solfège, lui fessait de la guitare (en plus !) et moi tu piano. Nous nous étendions plutôt bien, il était si gentil avec moi. Puis il y a eu cette Donna qui est arrivé et il m'a prisé le coeur ... Depuis je ne crois plus en rien. J'ai beau chercher il n'y a personne pour moi. Suis-je dévoué au célibat éternelle ? Alors pour complet ce vide, je trouve des compagnies ici et là qui ne dure que peu de temps. Après tout mes attouts ne peuvent que me servire qu'a cela puisque personne ne veux de moi. Cependant, j'ai aussi trouvé autre chose pour m'occupé l'esprit. Je lis. Je lis énormément depuis ce ... petit incident. J'adore lire et je lis presque tout le temps, comme une enfant model. Mais je ne suis plus une enfant, ni un model de pureté. Et oui j'ai tellement changé si vous saviez ... Premièrement, cette jeune femme me rapelle moi lorsque j'étais encore lycéene et totalement pure. Puis il y a eu cette fameuse soirée à Londres ou je me suis dévergondé ! L'alcool coulait à flot tout comme la drogue et le sexe. Bien que je n'ai pas touché à la drogue j'ai essayé le reste. Si vous aviez été là-bas vous auriez pu m'admiré dans un super ensemble cuire en train de danser et chanter Do You Wanna Touch Me de la sublissime Joan Jett. Deuxièmement, à mon retourd de Londres je me suis vengé de cette Donna en couchant avec l'homme parfait en question qui n'était plus vraiment charmand et pas non plus un bon coup. C'est ainsi quand deux mois vous passez du flop au top ! Je suis devenus une des filles les plus convoité. Ce n'est pas pour autant que je sortai avec eux, je m'amusai plutôt. Je vous rassure je me suis un peu assagis depuis.

Les apparences sont trompeuse et sa je le sais plusque personne. Les mecs les plus beau ne sont pas forcément les meilleurs coups (malheureusement) mis à part si c'est un Dieu du sexe ! Et oui j'ai déjà eu la change d'avoir affaire à un Dieu du sexe dont je ne divulgurai pas le nom. Bref, quelque fois la personne la plus pure qui soit et en réalité un vrai petit démon. Bien des filles sont ainsi, elles font croirent qu'elles sont des saintes mais fois qu'elles ne sont plus vierge elles se croivent de toute beauté et reine de l'univers. Pourtant lorsque je regarde cette jeune femme je ne vois pas du tout sa. Elle est pure, vraiment pure et j'aime sa chez elle. Bien qu'elle soit un peu trop coincée pour son âge, mais comment lui en vouloir ! Elle disait ce nommée Aphrodite et bien sa lui va parfaitement ! Cette nana est aphrodisiaque ! Puis d'une petite voix légèrement, elle demanda comment je m'apellai, je répondit: « Orhan Blacklove, je suis plus nouvelle ! » Je ris légèrement pour la détendre un peu. Elle avait l'aire nerveuse, je fais donc si peur que sa ? Je me regarde alors dans le miroir et remet mes cheveux, non je suis parfaite ! Un jour on m'a fait la réflexion que je sortai tout droit de Grease. J'ai les cheveux parfaitement bien bouclé et mon look est semblable, mais si il suivait un peu la mode il comprenderait ... Aprhodite avait son propre style et sa lui réussisait plutôt bien.

Je n'aime pas resté dans un endroit clos trop longtemps, c'est comme sa sa me rend folle. Je ne pouvai pas laisser cette charmante personne seule alors je poursuivis la conversation. « Vous êtes ici pour étudier quoi ? ». A premier coup d'oeil j'aurai dit quelque chose de studieu comme médecine, puis maketing ou litterrature puis plus rien. Je regarda mon portable un instant, Aaron m'avais arcceler de message en très peu de temps mais avec lui j'ai l'habitude. Je lui répondis rapidement, cela ne se fait pas lorsque nous sommes en pleine conversation avec quelqu'un ...

Une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, une femme qui a trois amants est une femme. ♣ victor hugo.

Il existe une mode. Un style. Il n'existe pas dix milles styles différents, enfin si, c'est possible. Mais chaque personne a sa mode, son style. Juger une personne sur son style est un acte petit. Même très petit. Il ne faut pas juger un livre à sa couverture non? Alors pourquoi une personne? Je veux dire, on est libre de s'habiller comme on le désire que je sache. Si tel ou tel vêtement nous plait, c'est notre droit. La vraie mode est de ne pas l'être après tout. Certes, on peux aimer s'habiller comme tous ses gens qui suivent ses tendances ou alors, faire un mélange de toutes les modes qu'on apprécie. C'est notre droit, on ne peux être arrêter par une sorte de police de la mode pour mauvais gout, on toucherait vraiment le fond là. Moi, j'aime varié mes plaisirs. Je ne porte jamais le même ensemble deux fois. Pas que je ne l'aime pas mais j'aime changé un élément de celui-si pour le remettre à mon gout. Gout qui change assez vite. J'aime testé mes fringues sur plusieurs styles, j'aime par exemple changer un haut qui ne va pas vraiment avec un bas. Ou alors, tenter une tenue plutôt osée tout en étant très chic. Ce genre de mélange exotique en gros. Suivre les modes banales? Trop peu pour moi. Soyons maitres de nos destins après tout. Nous sommes en droit de choisir de nous habiller de telle ou telle manière. Si un jour, je veux m'habiller en poulet, je le ferais. En espérant que ce jour n'arrive pas trop tôt...

Il n'existe pas. Le prince charmant n'existe pas. Il n'est qu'histoires, que mythes. L'imagination humaine est simple. Elle crée un idéal. Alors qu'elle ne devrait pas. Elle crée une personne qu'on croit faite pour nous, qu'on ne peut être avec personne d'autre qu'elle. On devient fou, fou de cette personne, on la cherche à tout prix. On la veux, on la désire sans l'avoir connue. On sait que tout sera parfait le jour où on la rencontrera. Le jour où ton regard croisera le sien. Le jour où ta seule raison de vivre sera pour cet idéal que tu auras rencontrer un jour par hasard. C'est dur à croire, mais tu auras beau te dire que tu le connais, tu ne le connaitras pas vraiment. Tu ignoreras des tonnes de choses sur elle. Sur cette personne que tu crois connaitre sur le bout des doigts. Elle te décevras un jour, elle te trahiras. Elle changeras à ton regard alors qu'en réalité, elle a toujours été cet être que tu auras en face. Elle se dévoilera à toi. En fait, tu croyais la connaitre, mais elle n'est pas la même. Elle n'est pas la personne qui tu as prise pour ton âme sœur, pour ton idéal. Tu sais très bien que les gens se cachent derrière des masques, qu'ils ne sont pas forcement ceux à quoi ils ressemblent en apparence. On dit que l'amour rend aveugle. C'est surement vrai...

« Orhan Blacklove, je suis plus nouvelle ! » Un rire s'échappa de ses lèvres charnues. Un rire mélodieux et tendre. Un sourire s'allongeant sur mon visage alors que je dé-serrais mes doigts des hances de mon sac. Elle semblait si parfaite. Un regard séduisant, des cheveux parfaitement entretenues, une tenue irréprochable... Elle devait être de ses filles. Ses filles mystérieusement attirantes, si inaccessible et tout le tralala. Un régal pour tout homme qui se respecte qui plus est. D'une voix douce, je lui répondais avec une pointe d'amusement. « Cela m'étonnerais, je suis là depuis deux semaines voir plus, enfin, je ne compte pas le nombre de jour où je suis ici... » L'Angleterre ne me manquait pas le moins du monde, pourquoi devrais-je compter les jours comme si j'étais en enfer et que le seul moyen pour que je garde un esprit tout à fait logique était que je compte les jours qui s'écoulaient. Jusqu'à preuve du contraire, la vie à Miami me plaisait complètement. Je m'y étais tout simplement bien intégrer et mon train de vie était répétitif. Le traintrain quotidiens s'installe vite quand on se sent bien dans un endroit. Je m'étais même rapidement habituer à cette grande villa en bord de mer souvent vide mais pas ennuyante. Je lâchais une main de mon sac pour pouvoir replacer correctement une mèche derrière mes oreilles. La voix d'Orhan retentit. «Vous êtes ici pour étudier quoi ? » A première vue, on aurait pus croire que je faisais des études qui demande énormément de concentration et une très grande intelligence. Ce doit être le cas, comme dans toutes les études que l'on peux effectuer. Son portable sonna, elle le sortit et répondit. Et les manières? On oublie? « Hmm, j'étudie la photographie et le mannequinat... » J'esquissais un sourire puis continuais. « Et vous? Quelles études suivez-vous? »

Je sais parfaitement que ma beauté est un don du ciel. Tout le monde n'a pas la chance d'être aussi parfait que moi, oui je suis parfaite la plus parfaite de toute. Contrairement à ce qu'on pourrait penser de moi, je ne suis pas une fille qui aime être au coeur de l'attention, j'aime bien être dans mon petit coin à lire tranquillement. Cependant, je ne suis pas une fille qui passe inaperçus à la vue de tous. Je parle bien évidement des mecs en général qui bave littéralement lorsque je passe. Les courbes de mon corps sont sculptées dans la splendeur des déesses, j'ai des jambes fine et parfaite, un visage angélique et des cheveux blonds bouclés comme si je sortais du coiffeur. Bien des personnes font de la chirurgie esthétique pour avoir un corps pareil, mais sa ne réussi pas a tout le monde. Aphrodite était elle aussi une belle femme, elle a un corps qui doit en faire rêver plus d'un. Elle me demanda qu'elle étude je faisais. C'était bien différent que ce qu'elle suivait. Le mannequinât c'est vraiment pas mon truc, la photographie sa peu encore allé mais le mannequinât non ! Je ne suis pas faite pour marcher sur un podium. Si j'étais dans la mode je serai plus styliste, j'aurai d'ailleurs dût prendre ses cours là ... Peu importe j'aime également beaucoup mon cursus. Elle me demanda quel cursus je suivais, je lui répondi en souriant que je suivais des cours de litterature française. Dans quelques années j'irai peu être un jour travaillé là-bas.


Mon portable se mit a sonner, c'était Elliot, je n'est pas décroché: il attendra un peu. Depuis que j'étais à Miami je n'ai rencontré aucune personne avec qui je pourrai me mettre. Puis un jour, comme par magie Elliot est arrivé et BAM ! Bref, le cliché de la rencontre amoureuse: j'ai eu du mal à lui parler, je me suis mit a rougir etc. Mais bon, je ne me fais pas de film puisque je l'ai déjà dit: le prince charmant n'existe pas. Je mis en attente Elliot le temps de terminer ma conversation avec Aphrodite. Aprés mon portable ce fut mon agenda électronique qui ne mit a sonner pour me prévenir de mon rendez-vous avec P. En effet, ce certain P m'envois des lettres, bouquet de fleur toute les semaines et pour qu'il arrête celà j'ai accepter de le rencontrer. Tout ce que j'espère c'est que ce n'est pas un de ses geek de la section informatique ou scientifique, c'est mec sont vraiment flipant !

J'ai ensuite rangé mon sac qui montrer mon impatience. Cependant, je ne voulais pas la laisser comme sa et partir. Je la regarda tout en souriant et lui dit: « Excuse moi j'ai un rendez-vous je dois y aller, mais on peut continuer notre discution dans le couloir ... » Avis au amateur dans quelques minutes ou secondes les (probablement) deux plus belle femme de ce campus vont sortir des toilettes. Bon c'est vrai que dit comme sa, c'est naze.. Avant de sortir j'attenda patiament la réponse de la jolie blonde.