Cherilynn leva les yeux au ciel se demandant pourquoi ! Pourquoi ne pouvait elle pas avoir une nuit normal, une seule petite nuit complète, comme n'importe qu'elle personne normale. La jeune femme tourna la tête vers la table basse à ses cotés et vit qu'il était quatre heures trente, elle se mit à soupirer puis à se tortiller dans tout les sens dans le lit. Elle en avait vraiment marre d'être enceinte. Elle avait vraiment envie d'accoucher, là maintenant ! On lui disait souvent à l'université qu'elle avait petite mine, qu'elle ferait mieux de rester tranquillement chez elle à se reposer. il lui arrive même de s'endormir aux cours les plus ennuyeux mais il faut la comprendre. Depuis quelques mois elle n'arrivait plus à dormir contrairement à Corry qui lui dormait comme un bébé. Certains soirs quand elle est énervé elle a envie de le réveillé juste pour se dire qu'elle ne sera pas seule à ne pas fermer l'oeil mais cela ne reste qu'une envie car jamais elle ne le fera.

Après dix minutes à essayer de trouver LA position, elle décida de se lever et marcha jusqu'à la cuisine où elle sortit les accessoires nécessaires pour se faire chauffer une tisane. Même si cela ne changeait rien à son insomnie, cela la calmerait un peu. En attendant que l'eau chauffe elle partit dans le salon pour y prendre une couverture qui y trainait et marcha sur ses pas pour retourner à la cuisine. Une fois sa tisane fin prête, elle sortit dehors et s'installa sur les petites marches. Cherilynn admira les étoiles. Plus jeune elle aimait monter le soir sur le toit de sa maison pour se retrouver seule et réfléchir à beaucoup de chose. Aujourd'hui elle ne pouvait plus le faire. Il ne faisait pas très froid, alors après plusieurs minutes elle décida d'aller se promener. Elle avait tellement de choses à l'esprit que si elle rentrait retourner se couché elle ne ferait rien de plus que toute à l'heure. Elle rentra, retourna dans la chambre et s'habilla correctement. La brunette préféra laisser sur son oreiller un petit mot à Corry au cas où il se réveille pendant la nuit et qu'elle soit encore dehors. Elle ne souhaitait surtout pas qu'il s'inquiète. « - je suis au parc, je t'aime ! » Elle le regarda toujours un petit sourire aux lèvres. Il est vraiment beau quand il dort. Elle ne savait pas de quoi il pouvait rêver mais elle vit que sur son visage se dessinait un sourire en coin. Elle passe doucement sa main dans les cheveux du jeune homme en prenant soin de ne pas le réveiller. Puis partit de la maison en restant la plus discrète possible.

Elle marcha dans les rues sombres, éclairés par des lampadaires qui ne fonctionnait pas toujours. Elle tournait dans les rues sans vraiment faire attention où elle allait suivant un parcourt qu'elle avait déjà fait plusieurs fois auparavant. En regardant l'heure sur son téléphone portable elle remarqua que cela faisait plus de vingt minutes qu'elle était parti.

Elle arriva devant le parc, elle s'arrêta un instant puis y pénétra. C'était si calme, personne. Cherilynn continua à marcher puis les pieds en compote elle s'arrêta prêt d'un banc. Elle eut un nouveau soupire et posa sa main sur son ventre sentant le bébé bouger. A chaque coup cela la rendait heureuse et lui donnait le sourire mais cela lui faisait penser à chaque fois au mensonge qui la hante un peu plus chaque jours.
elle ne supporte pas mentir à Corry mais lui dire la vérité avait été trop dur et lui dire maintenant n'était pas possible. Elle ne souhaitais pas le perdre.

Cherilynn continua à faire quelques pas, sa main était toujours posé sur son ventre. Elle était parti dans ses pensées, ne comprenant pas comment elle avait pu en arriver là. Elle essaya de se rappeler comme cette nuit avec son meilleur ami Bhlory avait pu se produire. Elle avait un énorme trou noir, peut être ne voulait elle pas vraiment se souvenir. a quoi cela pouvait il servir de toute manière, à part remuer cela un peu plus. La jeune femme sortit de ses pensées en entendant des bruits de pas. Elle n'osa pas se retourner, de peur de voir un malade. Il lui était déjà arrivé de venir le soir, mais elle n'avait jamais croisé personne. Elle se dit alors qu'elle n'aurait pas du sortir, elle entendit les pas se rapprocher de plus en plus d'elle mais elle ne bougea pas. En réalité elle était trop effrayer pour pouvoir bouger. Elle sentit une présence à ses cotés et des bras s'entourer autour d'elle. Elle comprit qu'elle n'avait pas à avoir peur, et un énorme sourire se décida sur son visage. Elle ferma un instant les yeux et sentit alors le doux parfum du jeune homme. Durant une fraction de seconde elle se laissa emporter par cette odeur si enivrante. Cherilynn adore son odeur, combien de fois celle ci à pu prendre sa bouteille de parfum et en mettre sur elle juste pour se dire qu'il est avec elle, ou sentit l'oreiller qu'il utilise quand il vient dormir chez elle...Elle se tourna vers lui, et le regarda droit dans les yeux. Elle lui fit un petit sourire.

« - Je voulais me promener un peu... »

Cherilynn entrelaça ses doigts à ceux de Corry et lui serra doucement la main. Elle fit quelques pas pour s'assoir sur le banc. Assises la jeune femme posa sa tête contre celle du jeune homme et posa sa main sur la cuisse de celui ci. Elle l'écouta, et releva la tête, elle lui dit alors en posant sa main sur sa joue.

« - Je ne voulais pas te réveillé, tu es tellement mignon quand tu dors. Et excuse moi, je ne voulais pas que tu t'inquiètes, j'aurais du rester à la maison mais n'arrivant pas à dormir je m'étais dit qu'une promenade me ferais du bien...Je suis vraiment désolé »

Elle déposa un doux baiser sur ses fines lèvres, enleva sa main de sa joue et reposa sa tête contre celle de Corry. Passa comme elle me pouvait ses bras autour du jeune homme et le serra contre elle.

En aucun cas Cherilynn avait souhaiter l'inquiéter. Mais elle devait l'avouer, elle était heureuse d'être là avec lui. Elle allait passer un moment avec lui, un peu seul au monde, dans un endroit magnifique. Elle leva les yeux et regarda alors le ciel étoilé, un sourire se dessina sur son visage. Quand elle est avec lui, tout va bien. Elle se sentait en une totale sécurité, elle n'avait plus peur de rien. Il lui arrivait certains jours d'oublier le mensonge qu'elle avait créé pour le garder à ses cotés.


ps: j'adore comme tu rp ;D Je suis contente que ce soit toi qui est pris Corry

La voir en face de moi, marché lentement m’avais soudain fait du bien, ça voulait dire qu’elle allait bien et qu’il ne lui était rien arrivé de grave, je m’en sentais soulagé, un gros poids que l’on m’enlevait, j’aimais passionnément cette fille et l’idée qu’il lui arrive quelque-chose n’étais pas du tout envisageable, alors lorsque je la vit je n’avais pu m’empêcher de la serrer dans mes bras, comme-ci ça faisait des mois qu’on ne c’était pas vu, les premier mots que j’avais prononcé était la demande d’explication de sa venue ici.

En attendant sa réponse je la regardais droit dans les yeux, des yeux profond, c’est fou ce que cette fille me rendait dingue d’elle, elle est d’une beauté inqualifiable, j’aimais rester là , à la regarder, parfois avant qu’elle ne soit enceinte, quand elle dormait la nuit, je me réjouissait de me réveiller rien que pour pouvoir l’admiré et me rendormir après, son visage d’ange bien imprégné dans mon esprit.

Un sourire aux lèvres elle me répondit qu’elle voulait juste se promener, je hochait horizontalement la tête en continuant de la regarder, on se posa ensuite sur un banc, les doigts entrelacé je lui avait fait posé sa tête sur moi pour qu’elle soit confortablement installé et je repris la parole en lui rappelant que c’était dangereux pour elle et qu’il aurait pu lui arriver n’importe quoi et par conséquent je m’étais inquiété pour elle, bien sûr je n’avais pas dit cela pour qu’elle culpabilise, oh que non oh grand jamais je ne voudrais lui faire cela, je voulais juste qu’elle comprenne et qu’elle ne le refasse plus .

Elle me répondit qu’elle s’excusait, qu’elle n’avait pas voulu m’inquiété mais n’arrivant pas à trouver sommeil, Cherylinn avait pensé qu’une promenade lui ferait du bien, ce qui en temps normal n’était pas faux, mais là il ne fallait pas oublier qu’elle portait un enfant dans son ventre, ce qui la rendait faible et incapable de se défendre en cas d’agression, incapable de se retenir si elle ne se sentais pas bien et plein d’autre choses encore.

Je n’eus pas le temps de lui répondre que nos lèvres se touchèrent et laissai place à un baiser passionné. C’est vrai que je n’avais plus vraiment confiance en elle et pourtant ça n’empêchait pas le fait que j’étais fou d’elle. Je n’avais aucune envie de rompre ce baiser, je laissai mes mains se balader dans ses cheveux puis lorsque nos lèvres se quittèrent elle reposa sa tête contre moi, mon cœur se remit à battre plus fort. Je mis une de mes mains sur son ventre pour voir si le bébé bougeait mais je ne sentis rien.

>> Comment te sens-tu ma belle ?

Je senti le vent se levé, il commençait à faire un peu frais, alors même si Cherylinn était couverte par sa veste, j’enleva la mienne et lui posa sur ses épaules puis lui déposa un léger bisous sur le front.

Cherilynn leva légèrement la tête, et regarda le jeune homme avec un grand sourire. C'est vrai que l'avoir prêt d'elle la rendait plus qu'heureuse. Elle se rappelait le jour de leur rencontre. Non pas la fois où elle l'avait remarqué dans une soirée organisé par son amie Faith, la meilleure amie du jeune homme. Elle avait beaucoup hésiter avant d'aller à cette fête car elle ne connaissait personne et n'avait pas vraiment envie de s'amuser. Elle l'avait observé une bonne partit de la soirée, elle aurait aimé lui parler, juste pour entendre le son de sa voix, connaitre son prénom, mais la seule chose qu'elle eut de lui, fut un seul regard accompagner d'un sourire qui à la base ne lui était peut être pas destiné. Leur premier regard, la première fois où ils ont eut une vrai conversation fut à la fête foraine, Cherilynn aurait détester rester bloquer dans la grande roue, mais cette fois, cela avait été différent. Elle était avec Corry, et se fut un moment magique pour elle. Elle depuis ce jour elle est tombé folle amoureuse. Il avait ses yeux si brillant et se sourire si étincelant qui la faisait craquer, et aujourd'hui, celui ci la rend toujours aussi folle. Elle n'a serte plus les mains qui tremblent, mais elle à toujours le coeur qui bat à cent à l'heure et ses papillons dans le ventre.

Il y a prêt de quatre ans, quand elle vivait encore en Australie, la jeune femme était sorti avec un garçon, il était beau, intelligent, mais après un an ensemble, celle ci n'avait plus eu les même sentiments, elle ne le trouvait plus si drole que ça, et ne commençait à voir que ses défaut. Pour Corry cela était totalement différent, celui ci la surprenait toujours, avait toujours un humour incroyable et n'avait encore aucun défaut de déclaré.


Cherilynn regarda le jeune homme poser sa main sur son ventre, elle eut un sourire. Pas une seule fois le bébé n'avait bougé en présence de son petit ami et cela l'attristait. Elle aurait aimé voir son visage en sentant le petit donner des coups.

« - Je me sens bien, surtout quand tu es prêt de moi »

Elle continua de lui sourire puis le vit enlever sa veste pour la mettre sur ses épaules. Elle n'avait pas vraiment froid. Elle ferma les yeux lorsqu'il l'embrassa sur le front et ajouta :

« - Tu vas tomber malade ! »

Elle mit alors comme elle le pouvait la veste du jeune homme sur eux deux, pour que chacun en est un bout, et se serra fort contre lui. « - Tu n'es pas trop fatigué ? Tu vas être fatigués pour aller travailler ... »

Contrairement à elle, Corry ne faisait pas parti des étudiants de Trinity et ne pouvait pas aller en cours comme cela lui chantait. Non, celui ci travail, c'est un photographe, et le meilleur qu'elle connaisse. Elle ne dit pas ça car c'est l'homme qu'elle aime, non, il a du talent, énormément de talent !

Lorsque je m’étais levé cette nuit, c’est vrai que je n’avais eu qu’un reflex, me dépêcher de partir retrouver Cherilynn et de la ramener chez elle pour que l’on puisse dormir, mais maintenant que j’étais près d’elle que je savais qu’elle allait bien la seule chose que j’avais vraiment envie était de rester avec elle, la garder dans mes bras, dans le noir avec les quelques étoiles qui brillent au-dessus de nos tête. Certes il y avait ce petit vent frais qui nous faisait frissonné c’est donc pour cette raison que j’avais mis ma veste sur celle qui remplit mon cœur de bonheur et Cherilynn avait essayé de se débrouiller pour que la veste nous couvre tous les deux, elle était tellement adorable, gentille belle et généreuse à la fois, tout simplement parfaite pour moi.

Lorsque je l’a regardais je nous voyais un avenir ensemble, une grande maison, un chien, deux enfants, des poissons rouges, une décoration que l’on aura choisi ensemble après s’être longuement disputer sur la couleur du papier peint de la salle à manger et de la peinture de la chambre de notre petite fille. On aurais un grand jardin avec plein de jolie fleur et un potager ou on plantera des radis et des carottes.

J’avais gardé ma main sur son ventre espérant que pour une fois je pourrais sentir le bébé bougé, sentir sa présence et peut-être me faire oublier que je n’étais pas le père. Cette idée, le fait de ne pas être le vrai paternelle de l’enfant me déplaisait vraiment car j’avais envie que mon sang coule dans ses veines et même si c’est moi qui élèverais cet enfant, génétiquement parlant je ne serais pas une partit de lui.

Cherilynn me demanda si je n’étais pas trop fatigué, c’est vrai que demain je travaillais, j’avais un rendez-vous très important avec un magasine pour voir si je pourrais prendre les photos de l’évènement qu’ils couvraient puis j’avais un Shooting à faire pour d’un mariage d’un couple d’une soixantaine d’année. Mon travail me plaisait énormément, j’ai toujours trouvé cela vraiment intéressant, mais mon programme de demain m’excitait particulièrement.

>>Ne t’inquiète pas pour ça ma chérie, ce que je fais demain est tellement important pour moi que peu importe ce que je fais cette nuit je serais en pleine forme demain.

Je pris les joues de ma chérie entre mes mains et l’embrassa, notre position n’était pas forcément la meilleure pour cela mais rien ne pouvait m’empêcher de passer un bon moment avec elle.

>>Tu veux qu’on aille se balader un peu avant de rentrer ? Et tu m’expliqueras vraiment pourquoi tu es venu ici …

Je la regardais droit dans les yeux et commença à me lever et la pris par la main, je passai mon bras en bas de son dos et commença à marcher lentement, sa ferais une très jolie photo de famille hein, mais à cet heure-ci il n’y a personne pour nous prendre et à la limite, les meilleurs photos sont celles de nos souvenir, et ça c’est la parole d’un photographe.
nleva la mienne et lui posa sur ses épaules puis lui déposa un léger bisous sur le front.

Cherilynn se leva alors et serra doucement la main de son petit ami. Elle ferma les yeux quand celui ci l'embrassa sur le front et laissa se dessiner sur son visage un petit sourire. Elle commença ensuite à marcher aux coté de Corry. Il voulait savoir pourquoi elle était venu ici, alors elle lui répondit.

« - Je réfléchissais à certaines choses..Le parc est vraiment le meilleur endroit pour penser ! Bon je dois avouer que la nuit c'est plutôt flippant... » La jeune femme lui fit un petit sourire, et en voyant son doux visage elle se dit alors qu'elle en avait assez de lui mentir, devait elle lui dire maintenant pour l'enfant ?! Rien que d'y penser elle sentit les larmes monter. Elle s'arrêta et regarda le jeune homme. Elle passa une main dans ses cheveux, plonge un instant son regard dans le sien et l'embrasse avec passion car cela sera peut être le dernier baiser qu'elle aura de lui. Elle le serra dans ses bras et lui chuchota alors qu'elle l'aimait, elle se détacha de lui et ajouta. « - Corry je ... je dois te dire quelques choses... » Peut être auraient ils du rester assit, car cela n'allait pas être facile, que ce soit pour le jeune homme mais aussi pour elle. Elle baissa les yeux, et se sentit mal. Elle lui caressa doucement la joue puis se décolla un peu de lui et passa ses mains sur son visage, elle soupire à nouveau et fini par tout lui avouer.

« - Tu te rappelles du jour où tu es partit pour réfléchir sur nous après une dispute aux sujets de Bhlory ? quand tu es parti je me sentais seule ....et j'étais complètement anéantie. J'ai bu et ... et j'ai passé la nuit avec Bhlory...et nous avons oublié de nous protégé»

En lui disant cela, elle n'eut pas le courage de le regarder droit dans les yeux, elle évitait son regard au maximum. Elle se sentait mal, mais au fond d'elle, elle avait un poids en moins.
Lui dire ça était déjà dur pour elle, Cherilynn avait le sentiment que le monde s'écroulait. elle n'en rajouta pas plus, il allait bien comprendre suite à cette révélation que l'enfant n'allait pas être de lui. Il y eu un petit silence, et la jeune femme préféra regarder ses pieds..

ps: j'espère que ca te dérange pas que je déballe tout, mais ca mettra un peu "d'action"

Cherilynn était sortit seule en pleine nuit dans la foret, évidemment je lui avait demander la raison de sa venue ici et elle m'avait répondu que c'était pour réfléchir, c'est vrai qu'à mon avis elle devait se poser pleins de questions, après tout elle va être mère, donner naissance à un enfant, devoir l’élever et sans occuper du mieux qu'elle pourra tout en étant encore très jeune. Je ne doute pas un instant qu'elle fera une bonne mère, et qu'elle saura l'élever comme il le faut mais c'est vrai que sa ne va pas être facile tout les jours, mais une chose est sure c'est que je serais là pour l'aider elle et ce petit bébé qui grossit dans son ventre.

Je la regarda droit dans ses beaux yeux marrons, comme essayant de chercher ce qui la tracassait, ce qu'il faisait qu'elle avait besoin de sortir à une heure pareille, mais rien je n’arrivais à rien percevoir, et nôtre regard fut couper lorsqu’elle m'embrassa passionnément, j'avais donc fermer les yeux pour pouvoir plus en profiter. J'étais dingue de cette fille et jour après jour mes sentiments pour elle ne faisaient que prendre de l'ampleur et j’avoue aimer ce sentiment.

A la fin du baiser, elle commença à prendre la parole pour dire qu'elle avait quelque chose à me dire, sa voix, son regard tout semblait vouloir dire «  j'ai pas vraiment envie de te le dire mais j'ai pas le choix », elle semblait si triste . Moi à ce moment là j'avais commencer à me faire plein de scénario dans la tête, me demandant si elle allait me quitter ou peut-être doit elle partir loi, un problème avec l'enfant ? Mes doutes étaient ils fondé ?

J'attendais sans dire un mot qu'elle continue, qu'elle me raconte ce qui semble tant la gêner de me dire, tout en étant impatient, je ne cache pas l'appréhension que j'avais à ce moment précis. Je la voit alors baissant les yeux, elle n'osait pas me le dire en me regardant en face, plus le temps s'écroulait, c'était peut-être des secondes mais ça durait comme une éternité et au moment ou elle pris la parole , commençant par me rappeler une soirée ou sa n'allait pas avec nous car j’étaie jaloux de son meilleur ami. Bhlory est un garçon que j'adore, on aime beaucoup passer du temps et rigoler ensemble et ceux même ci j'ai souvent et j'éprouve souvent une jalousie envers lui, et la complicité qu'il à avec Cherilynn. Enfin bref, elle continua donc son histoire en disant que se soir là elle avait été chez lui, qu'ils ont couché ensemble, sans se proteger et donc évidemment l'enfant n'étais pas le mien, sa je m'en était souvent douter mais que se soit justement celui de Bhlory je n'arrivait pas à y croire, je lâcha ces mains qui tenaient les miennes et me recula.

>>Alors c'est lui ! C'est Bhlory le père ? Je suis jaloux alors tu t'es dit pourquoi pas coucher avec et même lui faire un bébé sa risquerait de rendre Corry encore plus jaloux ! C'est à sa que tu as pensé se soir là?!

J'avais commencer à parler calmement mais au fur et à mesure que je continuais de parler, ma colère, ma tristesse et ma déception augmentait donc le son de ma voix augmentait aussi . Je lui tourna alors le dos pour pouvoir allez m'appuyer contre un arbre.

>>Et lui il est au courant ? Il se réjoui d'être père ? Hein !

Comme quoi on à raison d'être jaloux parfois, car une bonne complicité peux bien cacher des choses.

>>Tu sais quoi ? J'avais des doutes sur le fait que je soit le père, mais à aucun moment je n'est pensé que sa pourrait être lui … Lui qui se disait être mon ami … Toi ! Comment tu as pu faire sa Cherilynn ??

Sur le coup de la colère j’enchaînai tout sa, parfois même sans attendre qu'elle réponde.